Je l’avoue, je ne suis pas très bon pour les cadeaux originaux.
Je sais rarement quoi offrir.
Alors pour Noël par exemple, je laisse Pascale et les enfants s’en charger.
Mais avec ceux que j’aime, je ne manque pas de partager :
- une bonne bouteille
- un bon plat, cuisiné avec amour
- un bon jambon affiné
On ne manque pas de se régaler en somme.
C’est ma façon de répandre le bonheur.
Si vous me demandez mon plan de secours en cas de pépin (pneu qui crève, pas de restaurant digne de ce nom à 300km à la ronde, catastrophe cataclysmique…), ou tout simplement pour partir en vacances au ski, c’est :
- un saucisson,
- un pâté,
- un pain de blé truffier,
- un pot d’Octobre Rouge pour tartiner sur du bon pain,
- des rillettes,
- une brioche au saindoux,
- un miel des truffières pour la toux,
- le savon,
- le baume à lèvres.
(C'est vraiment le strict minimum.)
Il paraît que dans la vie, il faut éviter de subir.
Il faut anticiper les catastrophes ?
Merci d'avoir lu cette lettre, il me tenait à cœur de la partager avec vous.
Patrick Duler
Fondateur de la Maison Duler
P.S. : Régulièrement, je vous livre un regard original sur les dérives industrielles de l’agriculture et de toute la filière agroalimentaire. Je mets en lumière cet égarement qui débute dans les coopératives agricoles pour atteindre même les restaurants étoilés et les guides gastronomiques.
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P.S.1 : Cette lettre s’adresse aux gastronomes qui ont envie de s'engager dans la voie d’une gastronomie qui donne plus de plaisir et une meilleure santé. Si vous n'êtes pas dans ce cas, ma prose risque de vous ennuyer.
C’est pourquoi j’ai mis deux liens de désinscription, tout en haut et tout en bas de cette lettre.
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