Je vous l’ai dit, mes aïeuls étaient basques. D’ailleurs, il y a une rue Duler à Biarritz ( et une impasse aussi !), en mémoire de mon arrière grand-père, Capitaine au Long Court de la Garde Royale.

Alors, comme Proust et sa madeleine, j’ai eu envie de vous faire partager des souvenirs d’enfance.

L’originalité de cette recette, c’est l’origine des produits et leur qualité organoleptique.

Les poulets sont élevés pour nous dans le Gers, en agroforesterie, c’est à dire sur parcours entre bois et prairies. Imaginez comme ils vivent bien ces poulets et comme leur viande est à la fois tendre et ferme . Un petit poulet chez nous fait 3.2 kg ! Le poids d’une dinde à Paris !

Et bien sûr, les légumes proviennent de nos 2 hectares de potager bio. Ils sont de plein champs et mûrissent gentiment au soleil, les pieds dans la terre . Rien à voir avec des légumes bio sous serre !

Et pour finir, je prends le temps de faire revenir les morceaux de poulet pour qu’ils soient bien dorés, je prends le temps de faire réduite les tomates, les oignons … comme cela devrait être toujours fait.