Chaque jour j’observe
Chaque jour j’apprends.
Chaque jour je progresse.
J’en suis à BAC +46
Je suis attentif à ce que je mange,
et à ce que je consomme en général.
En apprenant petit à petit,
je suis devenu plus exigeant.
Je suis moins influencé par les gourous de la gastronomie.
Je comprends mieux ce qui me nourrit.
En faisant la cuisine depuis des décennies à partir de produits bruts,
je ne fais plus de complexe d’infériorité pour ma cuisine.
Car chaque année, les produits sont meilleurs
et la cuisine s’efface devant le vrai bon produit.
Et je partage cela avec nos enfants.
Il y a une dizaine d’années,
vers BAC + 35
J’ai découvert quelque chose :
une bonne production agricole est polyvalente, elle a plusieurs utilités.
Un bon cochon vous nourrit bien.
Mais il va bien plus loin
Son gras est le meilleur allié de vos lèvres.
Et c’est connu depuis l’antiquité
Vous pensez que je pousse le bouchon un peu loin ?
Merci d’avoir lu cette lettre, il me tenait à cœur de la partager avec vous.
Patrick Duler
Fondateur de la Maison Duler
P.S. : Régulièrement, je vous livre un regard original sur les dérives industrielles de l’agriculture et de toute la filière agroalimentaire. Je mets en lumière cet égarement qui débute dans les coopératives agricoles pour atteindre même les restaurants étoilés et les guides gastronomiques.
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P.S.1 : Cette lettre s’adresse aux personnes qui ont envie de s’engager dans la voie d’une gastronomie qui donne plus de plaisir et une meilleure santé. Si vous n’êtes pas dans ce cas, ma prose risque de vous ennuyer.
C’est pourquoi j’ai mis deux liens de désinscription, tout en haut et tout en bas de cette lettre.