Si vous me demandiez quelle est la meilleure volaille festive ?
La plus irrésistible de toutes celles que j’ai dégustées, à la maison ou chez les plus grands chefs.
Ce serait très facile de vous répondre.
Je répondrais à cette question sans même hésiter, en un quart de seconde, tellement ce goût et cette texture sont ancrés dans ma mémoire.
Et il m’a fallu très longtemps pour la trouver cette volaille, et encore plus pour maîtriser sa préparation et sa juste cuisson.
Même si c’est difficile de savoir exactement d’où vient le fait que cette volaille est exceptionnelle.
Pourquoi j’ai mis autant de temps à la découvrir ?
Je n’ai pas trouvé le moindre livre qui m’indique où trouver une très bonne volaille.
Et certainement, très peu de gens au monde produisent de très très bonnes volailles.
Alors bien sûr une très très bonne volaille ressemble à une bonne volaille, mais elle a quelque chose en plus qui s’appelle :
L’addiction
L’addiction, c’est ce qui caractérise par exemple la cocaïne, un produit qui vous procure les plus grandes sensations. (bon je suis un peu mal placé pour en parler, je n’ai jamais pris de cocaïne)
Et l’addiction, c’est ce qui caractérise les poulardes de Noël que me livre Nicolas ce mercredi, une sensation de gourmandise infinie.
Vous voulez savoir pourquoi les volailles de Nicolas sont si addictives, cliquez ci-dessous:
Et pour accompagner cette volaille, imaginez des tronçons de poireaux installés confortablement dans la lèchefrite, se gorgeant du jus de votre bel oiseau, nourris des sucs de cette viande exceptionnelle.
J’aimerais vous faire découvrir ce bonheur en ce 16ème jour de l’Avent en offrant une botte de poireaux de notre potager en permaculture. Des poireaux qui ont grandi tranquillement tout l’été et l’automne et qui sont maintenant enfin prêts à déguster.
Pascale vous ajoutera une jolie botte de ces poireaux cueillis du jour pour toute commande passée jusqu’à demain 10h.
A demain,
Merci d’avoir lu cette lettre, il me tenait à cœur de la partager avec vous.
Patrick Duler
Fondateur de la Maison Duler
P.S. : Régulièrement, je vous livre un regard original sur les dérives industrielles de l’agriculture et de toute la filière agroalimentaire. Je mets en lumière cet égarement qui débute dans les coopératives agricoles pour atteindre même les restaurants étoilés et les guides gastronomiques.
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