Je l’ai trouvée

Si vous êtes exigeants comme nous sur la qualité de votre nourriture, trouver une bonne volaille, c’est un vrai cauchemar .

Ce n’est pas une affaire à prendre à la légère. Vous n’êtes pas de ceux qui y sont indifférents… N’est-ce pas ?

Je vous imagine au supermarché devant le rayon volaille et ses labels sans réelle valeur.

Ou chez votre boucher, à faire la queue en cette période de fêtes, en essayant de regarder le rayon par-dessus l’épaule de celui qui vous précède. Vous essayez de voir de loin s’il n’y aurait pas une volaille qui attirerait votre attention. 
Mais non.

Finalement, par dépit et  bonne conscience, vous mettez le prix dans cette volaille plutôt que dans un poulet 100% industriel.
Mais est-ce vraiment mieux ?

Alors bon, vous me direz que je ne suis qu’un vieux c… qui n’est jamais content. 

Peut-être

Pourtant, la volaille parfaite, je l’ai cherchée pendant des années

L’oiseau de basse-cour que je n’achète pas par dépit en me disant : “Sinon je ne mangerai jamais de poulet”, 

Une gallinacée qui ne fait pas grimacer à la vue de sa peau blafarde, mais qui fait saliver dès qu’il commence à rôtir.

Un poulet qui charme l’œil autant que le palais, avec une peau dorée prometteuse, une chair tendre et ferme, et un gras délicieusement parfumé qui fond à la cuisson pour exalter chaque bouchée.

Comme je vous l’ai dit, je l’ai cherchée cette volaille… Longtemps

Et je l’ai trouvée.

Une volaille qui vit dans les bois, à l’abri des arbres, nourrie des céréales bio de la ferme et élevée longuement par Nicolas.

Et Nicolas nous livre les volailles festives ce mercredi.

Pour une livraison chez vous avant Noël, commandez dès aujourd’hui et recevez en plus le cadeau/découverte de l’Avent dont je vous parle plus bas.

Et avec un oiseau rare de cette qualité, on ne peut que bien l’accompagner : je vous propose une recette de purée de pomme de terre très spéciale.

Pour la concocter, vous aurez besoin du cadeau/découverte de ce 12ème jour de l’Avent : la graisse de chapon.

Il s’agit du gras savoureux récupéré sur les chapons que nous avons fait cuire à la broche l’hiver dernier.

Nous filtrons soigneusement cette graisse, puis je la mets en pot et la conserve à la cave pour concocter tout au long de l’année  une purée de pommes de terre unique.

C’est une recette que j’ai imaginée comme un hommage à la purée de Joël Robuchon, façon Sud-Ouest. Une purée beaucoup plus savoureuse.

Un pot de 350g de cette graisse de chapon sera ajoutée à chaque commande passée avant demain 10 heures.

Si vous voulez régaler vos invités pour les fêtes de fin d’année, voici la recette de ma purée de pomme de terre très spéciale.

Merci d’avoir lu cette lettre, il me tenait à cœur de la partager avec vous. 

Patrick Duler
Fondateur de la Maison Duler

P.S. : Régulièrement,  je vous livre un regard original sur les dérives industrielles de l’agriculture et de toute la filière agroalimentaire. Je mets en lumière cet égarement qui débute dans les coopératives agricoles pour atteindre même les restaurants étoilés et les guides gastronomiques.

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