C’est le troisième jour de ce Tue-Cochon de la Maison Duler et les plus observateurs parmi vous, ont dû se rendre compte que je n’ai pas encore mentionné nos jambons lors de ce tue-cochon…
Alors même que c’est le produit emblématique de notre savoir-faire. C’est avec notre jambon que nous nous sommes fait remarquer en 2014 à Barcelone face aux meilleurs Bellotas d’Espagne et nous a valu le titre officieux de » Meilleur jambon du Monde ».
Notre jambon nous a valu de nombreux articles de presse (Paris Match, Le Monde, Saveurs, 3 étoiles, …), plusieurs passages à la télé (TF1, France 2, 3 et 5, …)
Je le réservais donc pour quelque chose de très spécial… Qui va se dérouler aujourd’hui…
Quelque chose qui me trotte dans la tête depuis des années pour vous offrir du bon temps dans votre cuisine.
Je sais que vous êtes de vrais gastronomes avertis, adeptes de nouvelles saveurs et toujours en quête du meilleur du goût.
Quand j’avais 24 ans, les parents de Pascale pensaient que j’étais fou, je venais de mettre toutes mes économies pour racheter le Domaine de Saint-Géry qui n’était qu’un tas de ruines qui tenait à peine debout.
Le toit était troué, et jonché de ronces si grosses qu’il a fallu user de la tronçonneuse pour les retirer.
La première chose que j’ai faite sur ce domaine avant même de rénover le toit a été de dresser une table en bois et d’ouvrir « La Petite Auberge ». Pour me faire connaître, je suis allé au feu rouge à l’entrée de Cahors (ce n’était pas encore la mode des ronds-points) et j’ai distribué des flyers aux automobilistes.
Le lendemain j’avais ma première table.
Je n’avais jamais pris de cours de cuisine. Je ne savais pas ce qu’était une julienne de légumes ou une vichyssoise. Les seules notions de cuisine que j’avais me venaient d’Yvette qui faisait des « goûters à la ferme » au dessus de Mazamet dans la Montagne Noire.
Personne n’aurait parié un franc sur ce projet (et ça se comprend). Mais j’avais une vision et le feu sacré.
Je voulais pousser le goût à son paroxysme, émouvoir les invités, et marquer leur esprit, avec le fruit de notre terre.
Et je savais que j’étais prêt à poursuivre inlassablement cette quête quoiqu’il arrive pour les prochaines décennies.
40 ans plus tard, je mets toujours autant d’âme dans chacun des plats qu’on vous sert au restaurant.
La seule différence avec le Patrick de 24 ans, c’est qu’aujourd’hui, nous avons refait le toit et que notre cuisine est reconnue.
Mais ma mission ne s’arrête pas là. J’ai envie d’aider 3 d’entre vous à ramener dans votre cuisine quelques unes des saveurs qui vous ont émues dans notre restaurant.
D’où la proposition unique à laquelle j’ai pensé aujourd’hui pour ce troisième jour du Tue-cochon de la Maison Duler…
Nous avons préparé avec soin 3 assortiments de L’Amateur de bonne chère, comprenant salaisons et charcuteries pour vous régaler durant les 6 prochains mois.
- 1/4 jambon Hors d’Age 40 mois désossé 1,5 kg (614 euros),
- 1/4 jambon Extra Vieux 60 mois désossé 1,8 kg (903 euros),
- 4 saucissons Pur Porc Gascon (161 euros),
- 1 ventrèche affinée de Porc Gascon (78 euros),
- 1 filet de Porc Gascon au piment d’Espelette (165 euros),
- 1 trique de Saint-Géry (135 euros),
- 1 chorizo de Porc Gascon au piment d’Espelette (135 euros ),
- 4 saucissons canard-cochon (165 euros),
- 1 coffret bois de 6 rillettes (126 euros)
- 2 bouillons de Porc Gascon (41 euros x 2).
Valeur 2564 €
J’ai acquis ma première trancheuse professionnelle il y a 33 ans. Et à l’époque, ça m’a changé la vie, c’était une véritable révolution dans ma cuisine.
Cette première trancheuse, je l’ai toujours. C’est celle que j’utilise encore dans mon laboratoire quand nous fabriquons nos foies gras truffés et que je dois tailler finement plusieurs kilos de truffes.
Mais elle a deux défauts majeurs :
– la lame a un diamètre de seulement 190 mm (elle ne permet pas de trancher les grosses pièces : jambon, gros pain, …),
– elle n’a pas d’affuteur de lame intégré (ce qui est un handicap majeur, car pour bien faire son travail une trancheuse doit être en permanence parfaitement affutée).
En 2001, j’ai donc choisi un modèle équipé d’un affuteur intégré avec une lame en 220 mm qui me permet de trancher (presque) tout.
23 ans plus tard, cette trancheuse sert encore plusieurs fois par jour.
De nombreux clients m’ont avoué rêver d’en posséder une mais ne pas savoir laquelle choisir.
De mon côté, je veux vous éviter de faire mes erreurs de jeunesse ;-).
Je veux vous faire profiter de mon expérience et vous offrir un modèle équivalent à celui que j’utilise au quotidien dans ma cuisine :
- une trancheuse H.Koenig MSX220
- lame 220 mm
- affuteur intégré.
Avec une lame de 220 mm et un affuteur, c’est le modèle polyvalent, ni trop gros ni trop petit.
Je l’ai choisie comme pour moi, pour qu’elle vous soit utile pendant de nombreuses années.
C’est celle que nous utilisons chez nous depuis 23 ans et elle n’a jamais failli à sa tâche. Elle nous sert pour absolument tout, et vous allez pouvoir l’utiliser de la même façon pour :
- Découper les viandes, salaisons, fromage, pain (pour les biscottes), légumes, fruits.
- Affiner et donner un autre sens à la dégustation de vos salaisons avec de fines tranches.
- Découvrir de nouvelles saveurs en cuisinant la ventrèche, (comme Anne-Sophie Pic à Valence ou Sylvain Sendra à Paris), avec le bonheur de cuisiner avec du bon gras digeste et savoureux
- Explorer de nouvelles recettes qui demandent une trancheuse pour les réaliser : biscottes maison, carpaccio de courgette ou de magret, …
En résumé :
– Pour l’achat de l’assortiment de L’Amateur de bonne chère d’une valeur de 2564 euros,
– Nous vous envoyons en cadeau une trancheuse professionnelle d’une valeur de 699 euros.
– Cette offre unique est limitée à 3 personnes dans le cadre du tue-cochon.
Passez votre commande et Pascale vous fera livrer la trancheuse directement chez vous sous dix jours.
Si vous avez des questions, Pascale sera près du téléphone aujourd’hui et jusqu’à demain 10 heures, vous pouvez la contacter au :
05 65 31 82 51.
Pour profiter de cette offre, rendez-vous sur la boutique ou contactez Pascale.
Merci d’avoir lu cette lettre, il me tenait à cœur de la partager avec vous.
Patrick Duler
Fondateur de la Maison Duler
P.S. : Régulièrement, je vous livre un regard original sur les dérives industrielles de l’agriculture et de toute la filière agroalimentaire. Je mets en lumière cet égarement qui débute dans les coopératives agricoles pour atteindre même les restaurants étoilés et les guides gastronomiques.
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