Comme vous ne le savez certainement pas, Duler n’est pas d’origine germanique mais basque. Mes ancêtres étaient des marins basco-bayonnais et certains d’entre eux des corsaires.
C’est pour cela que je suis attaché à cette région.
Aujourd’hui, avec les pintades de Nicolas, je vous livre une recette de Pintade Basquaise, une bonne occasion pour moi de renouer avec mon côté basque.
La recette est tellement simple que vous pouvez la réaliser facilement depuis chez vous :
Notre recette de Pintade Basquaise
Ingrédients (pour 4 à 6 personnes) :
– Une belle pintade de Nicolas
– 2 pots de Piperade au vieux jambon de Porc Gascon
– Un peu de Lard en pâte
– Sel et poivre
Détaillez votre pintade en 4 « quartiers » : deux cuisses et deux ailes (gardez la carcasse pour faire un délicieux bouillon de volaille en vous inspirant de notre bouillon de cochon.)
Faites revenir les morceaux entiers dans un peu de lard en pâte pendant 15 minutes dans une poêle à feu moyen en les faisant dorer sur tous les côtés.
Préchauffez votre four à 180°C .
Etalez votre piperade sur environ 2 cm de haut dans un plat allant au four.
Posez sur la piperade les morceaux de pintade, peau vers le haut, puis nappez-les avec l’excédent de graisse. Salez et poivrez la viande.
Enfournez 25 minutes et régalez-vous.
Nous recevons les pintades seulement deux fois par an car elles sont élevées dans une démarche agroforestière par Nicolas pendant 150 jours.
Il nous en reste quelques unes, préparées comme pour nous et prêtes à enfourner.
Pour commander votre pintade et la recevoir vendredi, cliquez ici
Merci d’avoir lu cette lettre, il me tenait à cœur de la partager avec vous.
Patrick Duler
Fondateur de la Maison Duler
P.S.-1 : Nos pintades sont préparées comme pour notre restaurant, elles sont vidées, flambées, ficelées et emballées sous vide. Dès qu’on reçoit votre commande, elles sont expédiées en 24/48h par Chronofresh.
Si vous avez des questions, vous pouvez contacter Pascale au 05 65 31 82 51
P.S.-2 : Régulièrement, je vous livre un regard original sur les dérives industrielles de l’agriculture et de toute la filière agroalimentaire. Je mets en lumière cet égarement qui débute dans les coopératives agricoles pour atteindre même les restaurants étoilés et les guides gastronomiques.
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